46) Tarija, 25 au 30 juin






Pour aller a Tarija, nous avons pris un de ces bus dont on raffole, un bus qui part à 8h du soir et arrive à 4h du matin, un bus pourri avec peu de place pour nos jambes, un bus qui s’arrête à 1h du matin au milieu de nulle part pour 30min de pause, un bus de merde en clair.
Arrivé à Tarija à 4h30 du matin, nous sommes partis en quête d’un hôtel, pas facile évidemment. Les prix étaient excessifs, alors nous avons marché, marché, marché pendant 1h30 avec nos gros sacs pour finalement retourner à la station de bus et trouver un endroit sympa et pas trop cher vers 7h30 ! On était de super bonne humeur, vous imaginez !
Enfin on s’est donc fait une journée moule, tranquille, du repos après les 3 semaines et demi avec les 2 excités… On a essayé de rattraper un peu notre retard sur le blog et puis, on a profité de la ville. Tarija est réputé pour son climat méditerranéen et ses vignobles. Il est vrai qu’il y est fait plutôt bon en comparaison des -20*C du Salar… Nous avons visité cette ville agréable avec ces palmiers, ces orangers pleins d’oranges (et oui on est en hiver, c’est l’époque…), ces places agréables et surtout ces parillas (barbecue). On se rapproche de la frontière avec l’Argentine du coup, on commence à retrouver des senteurs de viande grillée dans la ville, Rémi est aux anges !



Nous avons été visité les vignobles de Conception, et on a été un peu déçu car les vignes sont toutes tristes (c’est l’hiver) et puis surtout leur vin n’est vraiment pas bon ! On a fait 2 dégustations, une artisanale où le vin est foulé aux pieds comme les moines à l’époque et une plus commerciale. Le vin artisanal ressemblait fortement à un mélange entre la sangria, du jus de raisin et de la liqueur… Pour le vin commercialisé, il nous a paru délicieux en comparaison à l’autre mais en réalité, ce n’est pas un grand vin non plus !







Après ça, on est rentré tranquillou et on s’est mangé un bon bout de bœuf… Ce que je ne vous dis pas, c’est qu’après l’Ipod de Remi, c’est l’appareil photo qu’on a failli perdre. En fait, on s’est posé un moment dans le village de Concepción et quand on est parti, on a laissé l’appareil sur une pierre. Au bout d’un moment Rémi m’a demandé si j’avais l’appareil, ben non c’est toi qui l’a… Là on s’est regardé et on a couru mais il était là, tranquille, il n’avait pas bougé ! On a eu trop de chance et maintenant on va faire un peu attention à nos affaires !
La suite, c’est de descendre en Argentine et de se promener un peu dans les parages pour attendre l’arrivée de ma maman et de son amoureux Jean-Pierre (JP pour les intimes).




Ju

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